Mad Max : Fury Road

Black and Chrome Edition

De George Miller
Tom Hardy, Charlize Theron, Zoë Kravitz
Avertissement : des scènes, propos ou images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.
Australie - 2015
2h
science-fiction
VOST
diffusion : 2017
P

Hanté par un lourd passé, Mad Max estime que le meilleur moyen de survivre est de rester seul. Cependant, il se retrouve embarqué par une bande qui parcourt la Désolation à bord d'un véhicule militaire piloté par l'Imperator Furiosa. Ils fuient la Citadelle où sévit le terrible Immortan Joe qui s'est fait voler un objet irremplaçable. Enragé, ce Seigneur de guerre envoie ses hommes pour traquer les rebelles impitoyablement…

Dans le cadre du Circuit, dernière étape du Mois d’accueil des étudiants organisé par la Ville de Poitiers et l'Université de Poitiers. Déroulé de la soirée du 30/09/17 :

> 18h30 au TAP Castille : projection de Kill Bill Vol. 1
> 20h45 : navette gratuite TAP > Dietrich (arrêt Aristide Briand - Place de la Préfecture)
> 21h : arrivée au Dietrich, pot offert par la Ville de Poitiers
> 21h45 : projection du film

TARIF UNIQUE : 5,5 € / SÉANCE
TARIF ADHÉRENT : 4 € (au Dietrich uniquement)
GRATUIT AVEC LA CARTE CULTURE (pensez à retirer vos Cartes Culture avant les séances : aucune carte culture ne sera délivrée le soir-même).
**AUCUNE PRÉVENTE AVANT LE 25/09/17**

Le film sera rediffusé le mardi 3 septembre à 16h30 (tarifs habituels).

Critiques

  • Pas de changement au montage, pas de scènes coupées ou ajoutées, on a droit ici au même film que la version initiale. C’est en réalité la version la plus pure du film, version que George Miller voulait dès le départ avant de se faire gentiment refouler par les studios. (…) Ce Black & Chrome apporte une autre impression en regardant le film. Si l’intrigue reste la même, on apprécie différemment cette course poursuite furieuse qui ne perd pas de sa splendeur. On s’attarde ainsi plus sur la qualité de mise en scène que sur le côté visuel. (…) Des touches légères de couleurs viennent embellir les plans, rappelant l’immense travail d’étalonnage sur le film oscarisé par 6 belles statuettes dorées. On dirait presque que George Miller a pris goût aux couleurs. pulp-movies.com

  • Le noir est blanc ne reflète pas la façon dont nous percevons le monde, et place donc spontanément un film dans une autre dimension que la nôtre. Idéal pour le vide post-apocalyptique de George Miller, dont les compositions grandioses le disputent à l'immensité du désert. www.konbini.com