Tout ce qu’il me reste de la révolution
Angèle vient d’une famille de militants, mais seul son père, chez qui elle retourne vivre, est resté fidèle à ses idéaux. Sa mère a déménagé à la campagne et abandonné son combat politique, et sa sœur a choisi le monde de l’entreprise. En colère, déterminée, Angèle s’applique autant à essayer de changer le monde qu’à fuir les rencontres amoureuses. Tantôt Don Quichotte, tantôt Bridget Jones, elle tente de trouver un équilibre…
PREMIER LONG-MÉTRAGE / AVANT-PREMIÈRE
Dans le cadre du Festival Télérama.
Critiques
Le film démontre avec beaucoup d’humour à quel point il est difficile pour les citoyens engagés de parvenir à concilier leurs idéaux et convictions politiques avec la société de consommation et de performance. […] Une réflexion brillante sur le sens donné au travail, et aux satisfactions autres que pécuniaires qu’il peut aussi procurer. www.leblogducinema.com