The dark
Dans une forêt sombre où elle fut assassinée des années auparavant, Mina, une jeune fille morte-vivante, va rencontrer Alex, un aveugle qu’on a kidnappé et enfermé dans une voiture.
PREMIER LONG-MÉTRAGE. Dans le cadre du 16e Festival OFNI.
TARIF UNIQUE : 5,50 € (SAUF ADH. DIETRICH ET JOKER)
Critiques
Justin P. Lange et Klemens Hufnagl livrent une fable tour à tour tendre et cruelle, avec en vedette la redoutable Mina. […] Sa relation avec le jeune aveugle réveillera en elle sa part humaine qui reprendra peu à peu le dessus, mais à quel prix ? Lange parvient à imposer un univers tendre-amer entrecoupé de quelques moments d’une violence parfaitement mise en scène, en jouant avec deux éléments majeurs : la métaphore du monstre et la perte de l’innocence. Si la résurrection de Mina lui a donné le droit à une seconde chance, il en est de même pour son compagnon de fortune qui est rapidement pris d’admiration pour la créature qu’il ne peut ni voir ni juger. Tous deux brisés par la vie et les abus des adultes, leur amitié devient la chose la plus précieuse qu’ils possèdent et leur arme contre le monde extérieur. faispasgenre.com
Les amateurs se souviendront peut-être du court-métrage éponyme du cinéaste, sorti il y a cinq ans, et salué dans de nombreux festivals. Ici, il arrive non seulement à conserver, mais aussi à transcender le sentiment de malaise permanent de ce récit de deux paumés qui vont devoir apprendre à se connaître. À la fois tendre et gore, rappelant par moments le cinéma de Lucile Hadzihalilovic et parfois celui de Georges Romero, The dark est un conte pour adultes des plus déstabilisants. www.etrangefestival.com