JE NE PRÉFÈRE PAS PENSER À DEMAIN
Nolwenn, Abdelraouf et Florian vivent à Tremblay-en-France en Seine-Saint-Denis. Le tournage commence quand ils sont lycéens, en terminale. Il se conclut quatre ans plus tard. Un film dans la durée pour saisir une période décisive et pourtant fragile de la vie, pour regarder se dessiner trois destinées, aujourd’hui, dans cette ville de la région parisienne, pour tenter de comprendre le marquage secret (réel ou fantasmé) de l’appartenance à la banlieue.
Dans le cadre du 5e Festival Filmer le Travail. Prix dde la valorisation de la recherche, diffusé avec les autres courts-métrages primés Rue du loup, L'homme de la rue du Soleil d'or et Le refrain du travail.
Tarif séance : 5 € (sauf adhérents et Bourses spectacles : 2,5 €
Goûter offert avant la séance.
Critiques
Nolwenn, Abdelraouf et Florian, lycéens en terminale à Tremblay-en-France doivent faire des choix pour leur avenir. La caméra délicate et obstinée de Nathalie Joyeux les accompagne durant cette année-là mais aussi les trois suivantes. Un tournage dans la durée pour saisir une période décisive et pourtant fragile de la vie, pour regarder se dessiner trois destinées, aujourd’hui, dans cette ville de la région parisienne.
Le lycée, la gare RER, les barres d'immeubles ou le quartier pavillonnaire s'y transforment en décor d'une comédie documentaire tantôt rêveuse, tantôt désenchantée, où les visages d'enfants abandonnent de leur innocence, troublants et universels comme le temps perdu. www.film-documentaire.fr