All shall be well (Tout ira bien)
Angie et Pat vivent le parfait amour à Hong Kong depuis plus de 30 ans. Jamais l'une sans l'autre, leur duo est un pilier pour leur famille et leurs amis. Seulement, au décès brutal de Pat, la place de Angie se retrouve fortement remise en question...
Avant-première dans le cadre de la rentrée arc-en-ciel.
Critiques
Figure montante du cinéma queer hongkongais contemporain, le réalisateur Ray Yeung met en scène dans ce nouveau film délicat des protagonistes assez peu représentés dans le cinéma queer, à savoir des personnes de plus de 50 ans. - Le Dietrich
Ray Yeung livre un plaidoyer pour la reconnaissance légale des couples homosexuels, et une forme de protection fondamentale contre ce type de situation romanesque qui fait tout perdre au membre survivant du couple. Plus qu’une question de confiance ou d’insouciance, c’est de survie dont nous parle All shall be well, loin de l’angélisme du postulat de départ, nous montrant une vie de famille heureuse où toutes sont acceptées pour ce qu’elles sont. Une fois les masques tombés, l’agressivité des intérêts personnels est terrifiante, superbement représentée par le casting du film, et notamment par la grâce et la combativité de Patra Au, magnifique dans son rôle d’Angie. - Le Bleu du Miroir