Le Grand Bal

De Laetitia Carton
France - 2018
1h39
documentaire
diffusion : 2018
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C'est l'histoire d'un bal. D'un grand bal. Chaque été, plus de deux mille personnes affluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent encore et encore, perdent la notion du temps, bravent leurs fatigues et leurs corps. Ça tourne, ça rit, ça virevolte, ça pleure, ça chante. Et la vie pulse.

S'immerger dans l'univers des musiques et danses traditionnelles, c'est ce que vous propose le Cinéma Le Dietrich à l'occasion de la sortie sur leur écran du film de Laetitia Carton LE GRAND BAL. Une soirée Ciné-bal en 2 temps, le vendredi 09 novembre, avec à 17h et 19h au Dietrich la projection du film, puis à partir de 21h au Confort Moderne un bal avec le groupe poitevin Ciac Boum.

 

TARIFS CINÉ-BAL DU 09/11 (séance de cinéma + entrée au bal) :
15 € - plein / 10 € - réduit* / 6.5 € - Joker
Achat des places Ciné-bal uniquement au Dietrich.

Attention les cartes d'abonnement TAP ou Dietrich, les Cinéchèques, les Chèque Cinéma Universels, la Carte Art du spectacle/EESI et les coupons ne sont pas acceptés pour le tarif Ciné-bal.

TARIFS BAL SEUL
12 € - plein / 9 € - réduit* / 3.5 € - Joker
Achat des places au Dietrich ou au Confort Moderne.

Et en ligne sur le site du Confort Moderne

Critiques

  • Le Grand Bal est, d’un même mouvement, affaire de transe et de fatigue, et l’un ne semble pas possible sans l’autre. C’est du moins ce que capte Laetitia Carton, qui filme Le Grand Bal non pas comme une observatrice extérieure, mais comme une cinéaste qui a d’abord été contaminée par la manie dansante, avant de décider d’en faire un documentaire. Le point de vue est moins celui de l’œil que celui d’un corps qui frémit, s’impatiente de rejoindre la piste de danse. Voilà pourquoi la cinéaste choisit le plus souvent de fixer sa caméra au milieu du parquet et des danseurs : pour nous faire participer, pour qu’on sente les corps nous frôler depuis notre siège. lemonde.fr

  • De ce marathon musical, on ressort aussi intrigué qu’épuisé, mais bien conscient, comme disait Martha Graham, que la danse est le “langage caché de l’âme". lesinrocks.com

  • De pesanteur, il ne saurait être question ici. Dès l’ouverture, la voix légère, virevoltante, presque enfantine, de Laetitia Carton ouvre le bal, narrant son goût précoce pour les danses populaires, pendant que les paysages givrés de son Auvergne natale valsent doucement devant nos yeux, derrière le pare-brise d’une voiture. Bien vite, le documentaire nous entraîne jusqu’à la Mecque... senscritique.com

  • La réalisatrice nous invite, poussée par un bel élan de générosité à valser avec elle au cœur de ce festival propre à retendre des tissus sociaux effilochés. (...) Accompagné par la voix claire et posée de la réalisatrice qui nous conte sa découverte et son amour des bals traditionnels, un plan large de la campagne auvergnate nimbée d’une brume matinale à l’indéniable poésie nous conduit au fin fond de l’Allier dans ce lieu magique où règne une belle ambiance chaleureuse. Ici, l’essentiel n’est pas l’exploit artistique mais plutôt l’énergie partagée pour repousser les barrières sociales et permettre à chacun de trouver sa place. avoir-alire.com