Malgré la nuit
Lenz quitte l'Angleterre pour revenir habiter à Paris. À la recherche de son grand amour Madeleine, disparue dans des circonstances indéterminées, il croise Hélène, une infirmière qui a perdu son fils en bas âge et qui se remet difficilement de cette tragédie. Une histoire d'amour fiévreuse débute sur fond de passion douloureuse, de jalousie et d'autodestruction.
Critiques
Malgré la nuit est un ovni, coup de force radical signé du plus lynchien des cinéastes français, Philippe Grandrieux (…) Le film décrit la descente aux enfers d'une femme (Ariane Labed), victime d'une secte adepte de meurtre et de sadomasochisme. Privilégiant sur le récit la puissance symbolique des images, le réalisateur nous entraîne dans un tourbillon de scènes sensuelles et terrifiantes, une expérience sensitive proche de l'art visuel de Bill Viola. Le cinéma comme pure force d'envoûtement. www.marieclaire.fr
Entre autodestruction, passion, jalousie et errance, Malgré la nuit n’est pas un film qui se raconte mais une expérience qui nous est donnée à voir et à ressentir. Philippe Grandrieux poursuit son exploration formelle de la nuit, des corps, des pulsions et des émois. Un film d’amour à mort. www.leblogducinema.com