Quatre garçons dans le vent
Trois jours dans la vie trépidante des Beatles, flanqués du grand-père de Paul qui sème la zizanie partout où il passe.
Version restaurée.
Critiques
Trente-sept ans après, la « BD », d'un noir et blanc crépitant, se feuillette toujours avec le même plaisir. Pas jaunie pour deux sous. Du charme un peu gauche des quatre interprètes néophytes à la délirante prestation de Wilfrid Brambell, acteur interprétant le grand-père détraqué mais « très propre » de Paul, le film s'emballe en cavalcades et digressions farfelues (« Comment avez-vous trouvé l'Amérique ? En tournant à gauche après le Groenland »). Il y a ici quelque chose qui préfigure l'humour absurde des Monty Python... Surtout, il y a la musique, qui inspire à Lester quelques séquences magiques, étonnamment modernes, comme cette célèbre et bondissante scène de défoulement dans un stade. www.telerama.fr