Tenzo
Chiken et Ryûgyô sont deux bonzes de l’école bouddhiste Soto. Ils se sont connus plus jeunes au dôjô pendant leur apprentissage spirituel. Tandis que Chiken s’investit dans diverses activités au temple de Yamanashi, de l’aide aux personnes aux préceptes d’une alimentation végétale et zen, son camarade Ryûgyô essaie de reconstruire son temple après le tsunami...
Le Dietrich profite de la clôture de cette semaine japonaise pour vous proposer en partenariat avec le restaurant/café/traiteur « Grand Ours », un ciné-repas qui vous fera découvrir le goût du Japon à la suite de la projection. Réservation pour le repas auprès du cinéma au plus tard le dimanche 7 juillet.
FILM + REPAS : Plein Tarif 14,5 € / tarif réduit 13 € / Adhérents & Joker 12 €
FILM SEUL : TARIFS HABITUELS
Critiques
Mélange de fiction et de documentaire, le [film] est une commande des moines eux-mêmes, qui s’interrogent sur leur rôle dans la société contemporaine. [...] Dans Tenzo, Ryûgyô, qui finit beurré dans son camion, est un vrai moine que Tomita a installé dans un préfabriqué à Fukushima, pour décrire la situation des moines qui ont tout perdu – ou se sont suicidés – après la catastrophe nucléaire. Le 11 mars 2011 a tout changé : « C’est l’événement le plus important et le plus profondément déclencheur pour nous tous. À la suite de l’accident nucléaire, les moines se sont sentis à nouveaux utiles dans la société. Une nouvelle ère arrivait enfin pour eux. » next.liberation.fr
