The blues brothers

De John Landis
John Belushi, Dan Aykroyd, James Brown
USA - 1980
2h10
comédie, musical
VOST
diffusion : 2021
E
P

Dès sa sortie de prison, Jake Blues est emmené par son frère Elwood chez Soeur Mary Stigmata, qui dirige l'orphelinat dans lequel ils ont été élevés. L'établissement est menacé par le fisc et ils doivent réunir 5 000 dollars pour le sauver de la fermeture. Ils décident donc de reformer leur groupe de rhythm'n'blues et de donner des concerts pour gagner l'argent nécessaire à la survie de l'orphelinat. Mais leur projet s'annonce difficile à réaliser : poursuivis par la police, par une bande de néonazis et par une femme mystérieuse animée d'une rancune tenace, les Blues Brothers se trouvent mêlés à des aventures plus rocambolesques les unes que les autres. 

Séance proposée par la M3Q dans le cadre du festival « Osez la danse ». A 19h, soirée d’ouverture surprise à la M3Q où danse hip hop et comédie musicale seront à l’honneur. Puis à 20h30 au Dietrich, projection du mythique THE BLUES BROTHERS avec une intervention chantée par l’association Broadway school. 

TARIFS HABITUELS (5,50 € SUR PRÉSENTATION DU BILLET DE LA SÉANCE D’OUVERTURE À LA M3Q)

Critiques

  • Bâti sur quelques McGuffin réellement expédiés, et, il faut bien l’avouer, ne faisant pas toujours dans la délicatesse, le film de John Landis est de ceux qui échappent parfois à leurs auteurs pour se créer une indépendance initiatrice et ainsi dépasser les ambitions basiques, aussi prometteuses soient-elles. Ici, la réalisation est loin d’être la création d’un seul homme, mais bel et bien celle d’une équipe hétéroclite, géniale, sous la houlette d’un chef d’orchestre laissant justement place au melting pot(es). Le résultat est aussi euphorisant qu’une improvisation d’un grand guitariste blues. www.avoir-alire.com

  • Potaches survitaminés, Dan Aykroyd et le regretté John Belushi, vedettes du Saturday night live, show télé comique dont raffolaient les Américains dans les années 1970, ont définitivement popularisé leurs lunettes noires et leur humour parodique. Un film à voir et à revoir, sans se lasser, comme on écoute encore et encore un bon disque de la Motown. www.telerama.fr