The Thing

De John Carpenter
Avec Kurt Russell, T.K. Carter, Wilford Brimley
VERSION RESTAURÉE
USA - 1982
1h48
horreur
VOST
diffusion : 2019
E
P

Hiver 1982 au cœur de l’Antarctique. Une équipe de chercheurs composée de 12 hommes, découvre un corps enfoui sous la neige depuis plus de 100 000 ans. Décongelée, la créature retourne à la vie en prenant la forme de celui qu’elle veut ; dès lors, le soupçon s’installe entre les hommes de l’équipe. Où se cache la " chose " ? Qui habite-t-elle ? Un véritable combat s’engage.

 

Précédé d’une surprise musicale par Simon, le projectionniste alchimiste du Dietrich.

Rediffusion le 14 février à 18h30 (tarifs habituels).

Critiques

  • Avec ce film d’horreur adapté (pour la seconde fois) d’une nouvelle de John W. Campbell Jr Who Goes There ?, John Carpenter réalise un film nihiliste et sans compromis, proche de l’Alien de Ridley Scott (…). www.critikat.com

  • En 1982, John Carpenter donne ses lettres de noblesse au huis clos avec ce chef-d’œuvre de l’angoisse et de l’horreur. Avec un sadisme et une élégance rares, il met en scène progressivement la lente descente aux enfers de ses personnages confrontés à l’indicible. www.avoir-alire.com

  • Premier volet de ce que le cinéaste appelle sa « trilogie de l’apocalypse » avec Le Prince des Ténèbres et L’Antre de la Folie, The Thing est peut-être bien son film le plus abouti et sans aucun doute l’un de ses meilleurs, parvenant à atteindre l’excellence dans son registre. Pas étonnant de voir qu’il inspirera nombre d’œuvres par la suite, qui lui feront ouvertement référence. http://mondocine.net

  • Par une mise en scène très sobre (…) et aidé par un Ennio Morricone en pleine forme, le réalisateur impose au spectateur un immobilisme pesant, partagé par les personnages du récit. Découpant à la perfection son film, le réalisateur pose un rythme assez lent, tout à fait adapté au contexte, et le suspense n’en est que décuplé. Chaque personnage devient suspect et très rapidement l’expérience devient cauchemardesque alors que se succèdent les modifications de point de vue et les séquences horrifiques hallucinantes. www.leblogducinema.com